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APPRENDRE À ETRE OPTIMISTE*L'optimisme est une forme de courage qui donne confiance aux autres et mène au succès.
Baden-Powell |
Dans notre société en perte de repères, l’optimisme
semble être une quête répandue, à en croire l’abondante
littérature consacrée à ce thème. L’optimisme
évoque une tournure d’esprit qui consiste à prendre les
choses du bon côté, une habitude mentale qui permet d’envisager
une issue favorable aux événements. Être optimiste, c’est
se montrer résolument positif, enthousiaste, c’est faire confiance
à la vie.
Pourtant, près de trois Français sur quatre se déclarent
pessimistes . L’habitude de se lamenter est, semble-t-il, plus répandue
que celle de se réjouir de la vie. Pourquoi certains sont-ils d’éternels
optimistes alors que d’autres ne cessent de broyer du noir en excellant
dans l’art des prédictions malheureuses ou en ressassant les rancœurs
du passé ?
Bon nombre de facteurs tels que l’humeur, le tempérament et les
neurones influencent profondément nos états d’âme.
L’humeur est un état émotionnel qui colore notre paysage
intérieur et notre perception du monde. Changeante, instable, elle est
conditionnée par une foule d’événements de nature
à influer sur nos comportements et notre bien-être. Le tempérament
désigne une prédisposition face aux événements de
la vie. C’est lui qui donne à nos émotions et sentiments
une tonalité positive ou négative. C’est cette « affectivité
de base » qui, selon les psychologues, semble nous prédisposer
à percevoir la vie en rose ou en noir.
Longtemps, les scientifiques ont cru que le cerveau arrivé à sa
maturité se caractérisait par la stabilité de ses connexions.
On sait aujourd’hui, grâce à l’imagerie cérébrale
et aux progrès de la biologie moléculaire, que le cerveau modifie
l’organisation de ses réseaux de neurones, en fonction des expériences
vécues et que de nouvelles connexions peuvent se créer. Nos idées
noires proviendraient non seulement d’anomalies du cerveau limbique qui
génère les émotions et les mémorise sous forme de
connexions entre les neurones, mais aussi du néo-cortex, la partie du
« cerveau pensant » qui traite les émotions et les sentiments.
De récents travaux de neuropsychologie ont en effet démontré que les événements de vie positifs ou négatifs s'inscrivaient dans le cortex préfrontal, siège du raisonnement volontaire et de l'intégration des expériences ; que son côté gauche est plus activé par la joie, et le côté droit, par la tristesse et la peur. Ce dernier aurait un rôle essentiel dans les ruminations, les pensées irrationnelles, la perte d'estime de soi.
La dépression diminuerait la taille de ses neurones et le spécialiserait plutôt dans le traitement des émotions négatives.
Nos hémisphères cérébraux jouent donc un rôle différent dans la survenue de sentiments liés au bonheur : des lésions de l'hémisphère cérébral droit entraînent une humeur neutre ou positive, à l'inverse, des lésions situées à gauche provoquent des pensées sombres.
Les dernières recherches en psycho immunologie effectuées par le Pr Richard Davidson, au laboratoire d'imagerie cérébrale de l'université du Wisconsin ont révélé notamment qu'un programme d'entraînement, même court, à la méditation, avec des groupes d'étudiants, influençait favorablement le système immunitaire puisqu'il régulait le centre cérébral des émotions. Un programme de recherche a mis l'accent, toujours grâce à l'imagerie cérébrale, sur la capacité des moines tibétains à se remplir d'émotions positives. Il a notamment démontré que l'on pouvait entraîner le cerveau à la sérénité et au bien-être. Une autre étude conduite auprès de plusieurs centaines d'étudiants américains a prouvé que ceux qui entretenaient des pensées optimistes réussissaient davantage que ceux dont l'humeur était pessimiste. Pour ces derniers, le taux d'échec était significativement plus important. Ces découvertes ont établi de manière unanime que pensées et émotions agissent sur la biologie du cerveau. Les effets bénéfiques de la pensée positive sur la santé, dans des domaines très variés comme les suites opératoires ou l'implication dans des traitements lors de maladies graves étaient déjà connus.
La grande avancée de notre science occidentale est d'étayer que corps et cerveau ne sont pas des entités distinctes mais les deux parties d'un tout et que nos pensées ont donc une répercussion physiologique sur le fonctionnement du corps.
Nous possédons chacun notre propre terrain génétique, mais l'apprentissage et l'expérience de la vie offrent l'occasion de développer un certain optimisme ou, au contraire, davantage de pessimisme. Le cerveau rationnel peut donc, à son tour, intervenir sur le cerveau émotionnel par l'intermédiaire du langage et de la pensée.
Nos émotions négatives troublent notre bien-être. Se répercutant sur notre équilibre psychique, elles perturbent l'humeur, réveillent des angoisses et engendrent des troubles souvent difficiles à surmonter. Notre organisme en garde les traces et les traduit en tensions, déséquilibres, et maladies.
Nombre de personnes n'ont pas été programmées au bonheur et n'ont pas appris à y accéder, (carences dues au manque ou à l'absence d'amour durant l'enfance, par exemple). Néanmoins, elles sont parvenues, grâce à leurs efforts personnels (thérapie, lectures, entraînements et travail sur soi) à développer une attitude plus positive face à la vie. Il est important de comprendre que l'on peut modifier son comportement, grâce à un patient travail de reconstruction de sa vision du monde et surtout de prendre conscience que le bonheur est un édifice qui sans cesse se construit et s'entretient.
Les optimistes ont une bonne estime de soi. Ils vivent en bonne intelligence
avec eux-mêmes, ils profitent pleinement de la vie et font confiance à
leurs jugements.
Ils ont conscience de gouverner leur vie. Bien faire les choses, mener à
terme ce qu’ils ont entrepris, telle est leur devise. Ils ont foi en leurs
compétences, ils savent se fixer des objectifs et tout mettre en œuvre
pour les atteindre.
Ils sont remplis d’espoir. Des épreuves, des soucis, notre vie
en est envahie. Les optimistes apprennent à en tirer partie et utilisent
toutes les circonstances de la vie même les plus défavorables comme
catalyseurs d’une transformation personnelle. Leur optimisme n’exclut
pas une approche réaliste car ils sont conscients de leurs erreurs mais
ils évitent de les ressasser et persévèrent pour atteindre
leurs objectifs. « Tant que je n’ai pas de preuve du pire, je m’efforce
de ne pas l’envisager à l’avance » décrète
Pierre, résolument optimiste !
Mihaly Csirkszentmihalyi, dans son ouvrage
« Vivre
», affirme que l’optimisme
dépendrait de notre habilité à traiter et à interpréter
l’information et qu’il est nécessaire d’exercer un
contrôle sur le contenu de notre conscience afin de la protéger
des pensées défaitistes. On a beau le savoir, on ne fait pas toujours
l’effort nécessaire pour les combattre.
L’optimisme est un art et comme tout art, il se cultive, s’entretient
et se nourrit. Chacun peut apprendre à illuminer ses journées
et dire « stop » aux pensées,
images ou phrases assassines qui plombent notre moral. Rien d’harmonieux
ne peut être entrepris sans une dose d’optimisme. Une attitude mentale
positive aide à résoudre les problèmes du quotidien. Lorsque
nous déballons nos déboires et nos griefs, nous continuons à
entretenir une vision amère de la vie et cela nous fige dans l’immobilisme
et le découragement.
nions avec détermination les mesures qui s’imposent pour agir
! C’est le meilleur moyen pour couper court aux doutes qui nous assaillent. Le doute est un véritable poison qui anéantit toute force, le
doute naît de la peur et la peur déclenche exactement le contraire
de ce que nous souhaitons. Attention, un minimum de doute est cependant nécessaire,
pour rester réaliste. Il ne s’agit pas non plus de fuir la réalité
en permanence.
Certaines personnes n’acceptent pas la possibilité de réussir,
probablement du fait de fausses croyances
comme par exemple «Je ne le mérite pas ». Si vous
vous surprenez à entretenir ce style de pensées, il serait bon
de réfléchir à l’image que vous avez de vous-même
et à ce que cette phrase vous renvoie. La personne qui visualise doit
être prête à accepter le changement qui va s’opérer
en elle. C’est parfois délicat, on croit vouloir changer mais c’est
souvent compliqué d’abandonner d’anciens schémas.
Or il y a des années de comportements, de réflexes, de sentiments
à abandonner. Le passé négatif n’est pas un boulet
que l’on traîne. Redémarrer sur des bases différentes
avec des ressources différentes est possible.
Si vous êtes prêt à accepter ce que la vie vous offre, il
n’y aura plus de place pour ces émotions destructrices qui gaspillent
temps et énergie.
Votre inconscient a besoin d’informations claires, puissantes
ne laissant pas de place au doute. C’est lui qui dirige vos actions en
conséquence.
Imprégnez-vous totalement d’optimisme
Lisez des ouvrages, des textes empreints d'optimisme. Soulignez ou recopiez des phrases, apprenez-les, notez-les dans un cahier à portée de main, afin de les relire à tout moment, enregistrez des phrases positives sur votre smartphone, ou notez-les sur de petits cartons (une pensée par carton), répétez-les à haute voix, ou encore faites comme cette patiente qui inscrit quotidiennement une citation ou une affirmation positive sur une ardoise dans sa cuisine. « C'est ainsi que je programme ma journée » assure-t-elle.
Je demande à certains patients de noter dans un journal les événements les plus positifs qu'ils ont vécus durant la semaine et comment ils y ont contribué. Cet exercice a permis d'améliorer considérablement le quotidien de certains qui ne voyaient leur vie qu'à travers des lunettes sombres.
Rayez la plainte de votre vocabulaire
La plainte peut devenir habituelle et traduire un mode de relation au monde pour obtenir écoute, attention, aide. Elle incite à se comporter en victime et induit un état de passivité et d'inaction face aux problèmes. Un monologue intérieur nourri de plaintes laisse peu de place à l'optimisme ! Aussi, abandonnez votre statut de victime, et considérez vos difficultés comme des problèmes à résoudre et non comme une injustice. Rappelez-vous que nos épreuves nous offrent l'occasion d'une remise en question souvent bénéfique.
Concentrez-vous sur les solutions à apporter à votre problème
plutôt que sur le problème en lui-même. S’il vous perturbe
réellement, posez-vous la question : « Est-ce que, dans quelques
années, je le considèrerai toujours avec autant d’intensité
? »
Supprimez la médisance et l’esprit critique
La médisance nous fait gaspiller notre énergie. Évitez de juger : remplacez vos jugements par des questions, intéressez-vous
aux autres, à leur vie. Habituez-vous à vous écouter penser
ou parler avec plus de bienveillance.
Pratiquez le contentement intérieur
Certains, obsédés par leur désir de possession, sont condamnés
à l’insatisfaction à force de trop de convoitise. Compétitions,
courses et frustrations coupent l’individu de sa spontanéité,
de son optimisme et de sa confiance en lui.
Voici un petit exercice à effectuer
de temps en temps : Retournez-vous sur votre passé quelques instants,
non pour vous lamenter mais pour songer à tout ce que vous avez accompli
jusqu’à ce jour. Considérez et évaluez tout ce chemin
parcouru. En étiez-vous conscient ? Refaites cet exercice régulièrement
pour doper votre moral.
Programmez des expériences de lâcher- prise, apprenez à
ne rien faire
« Impossible me dit Pascale, chez moi, il fallait toujours travailler,
s'activer en permanence. Aujourd’hui, je suis incapable de m’asseoir
sans rien faire, cela génère une vraie angoisse.»
En thérapie, je recommande par exemple à des patients hyperactifs
d’apprendre à ne rien faire, il s’agit d’un réel
apprentissage pour certaines personnes habituées à remplir compulsivement
chaque minute de leur emploi du temps. Cela peut simplement consister à
se poser, regarder par la fenêtre, ou encore à observer un élément
de la nature, ou se centrer sur sa respiration. En général, au début, mieux procéder par étapes : quelques secondes chaque jour,
puis deux à trois minutes etc.….C’est un bon entraînement
au lâcher prise.
Entourez-vous de gens positifs
Il existe une loi du rayonnement et de l’attraction. Soyez attentifs
à votre environnement et allez spontanément vers les optimistes,
c’est contagieux !
Souriez, pratiquez l’humour, riez plus souvent
Nous sommes souvent empêtrés dans
un stress aux effets paralysants,
aussi oublions-nous « la » dose d’humour, celle qui caractérise
et amène de la légèreté. L’un des plus sûrs
moyens de provoquer un état interne optimiste, c’est le sourire.
Observez ce que vous ressentez lorsque vous souriez. C’est une sensation
agréable qui apporte du plaisir.
Il est des personnes dont le sourire est si captivant qu’il procure un
réel rayonnement au point de magnétiser leur entourage. Fréquentez
des gens intéressants et joyeux, multipliez les occasions de rire, principalement
durant des périodes difficiles. Exercez-vous aussi à observer
ce qui nous entoure d’un regard amusé.
Le rire favorise la production d’endorphines, ce qui réduit les
hormones de stress et la tension artérielle. Il stimule le système
immunitaire et régule le sommeil. Ses effets relaxants se propagent dans
tout le corps : des muscles masticatoires au diaphragme, les abdominaux et le
dos, d’où une meilleure digestion. Le rire induit une respiration
tout à fait bénéfique et relaxante (inspiration brève,
pause, expiration saccadée). Essayez !
Lorsque vous êtes d’humeur maussade, visionnez des films drôles.
Constituez-vous une vidéothèque avec des films anti-vague à
l’âme.
Sachez manier l’humour, c’est une grande faculté
de pouvoir rire de la vie, mais aussi de soi. L’humour (qui n’a
rien à voir avec le sarcasme ou l’ironie pratiqué sur le
mode agressif) permet aussi de dédramatiser et de prendre le recul nécessaire
face à certaines erreurs, faiblesses ou errances pour éviter qu’elles
ne prennent trop d’ampleur et vous atteignent moralement !
Pratiquez des exercices de formulation positive
« Il faut tourner sa langue sept fois sa langue dans sa bouche avant de
parler » préconisait ma grand mère. L’éducation nous a
enseigné la réflexion. Laissez-vous du temps pour répondre,
cela permet de songer à la maîtrise du choix des mots. Portez une attention particulière à votre façon
de vous exprimer, remplacez tout mot négatif par un terme positif. Évitez
les expressions véhiculant des énergies néfastes à
votre vitalité (ex.. je déteste, je hais, c’est l’horreur, le cauchemar
! etc.…).
Pou certains, cela exige du temps, de la concentration, c'est en vous entraînant quotidiennement que vous apprendrez à éliminer progressivement de votre vocabulaire tout ce qui est nuisible à votre harmonie. Vous constaterez à quel point vous pourrez agir sur votre vie émotionnelle. Par exemple, effectuez l’exercice suivant le soir,
au moment du coucher : Revivez votre journée, songez à votre comportement,
aux paroles que vous avez prononcées. Corrigez mentalement toutes attitudes,
toutes phrases négatives, veillez à les reformuler en les remplaçant
par des mots ou par une attitude différente. Revoyez le film de
la journée sous son angle positif. Dans cet état de conscience
légèrement modifié, entre veille et sommeil, vous imprimez
beaucoup plus facilement dans votre mental une nouvelle attitude, un nouveau
programme de pensées.
Éduquez votre manière de penser
Pour cela analysez chaque pensée lucidement. Vous constaterez que le
sujet de mécontentement ou de pessimisme perd soudain de son acuité.
À partir du moment où vous lui avez restitué sa vraie place,
oubliez-le et refusez-lui toute
intrusion
dans votre mental. Repérez vos pensées automatiques, ces pensées
issues de vos affects, de votre environnement ou d’idées reçues
qui s’imposent à vous sans contrôle de votre conscient telles
que « c’est tragique, je panique à mort » etc. ou encore
« je suis incapable d’y arriver, c’est trop dur ! ».
Inaugurez une nouvelle vision des choses et souvenez-vous que vous pouvez changer. Vous vous libèrerez ainsi d'une forme de conditionnement et de dépendance. Lorsque ces pensées automatiques s'imposent à votre esprit, songez à les modifier en étant bien conscient que vous véhiculez des pensées qui ne sont pas les vôtres. Pour les chasser, il importe d'identifier ces fausses croyances afin de mieux pouvoir les combattre. Ce cheminement intérieur est un réel défrichage. Peut-être avez-vous entendu : « Tu es vraiment nul, ou encore t u n'y arriveras pas ! » Ces injonctions sont dévalorisantes et génèrent souvent de la culpabilité. Dites-vous qu'elles appartiennent au passé. Donnez-vous la permission de réussir. Pour cela :
– Dressez la liste de vos qualités, de vos points forts, de vos
réussites, de vos ressources
– Prenez conscience de votre valeur
– Mettez-vous à l’écoute de vos pensées et
à chaque fois que vous avez réussi à remplacer une pensée
négative par une pensée positive dites-vous : « Voilà
j’ai remplacé dans ma tête un nuage par un petit soleil ».
Observez la transformation de vos émotions. Comprenez le cheminement
intérieur et appréciez-vous sous ce nouvel éclairage ;
– Décidez de ne pas être parfait. Personne ne l’est
! L’important est d’être chaque jour un peu plus heureux.
Une vieille dame qui chantonnait toute la journée m’a dit un jour
: « Je chante, non pas parce que je suis heureuse, mais pour être
heureuse ». Vous aussi chantez et laissez entrer la joie.
Vivez dans le présent
Le passé est derrière nous, nous ne pouvons le changer, le futur,
nous ne le connaissons pas, la seule manière de faire taire nos peurs,
c’est de bien vivre notre présent. Cela exige bien entendu un effort
permanent pour rester en contact avec l’instant présent et monter
la garde contre nos pensées automatiques. Il s’agit d’être
attentif à soi et à tout ce qui se passe en soi à la manière
d’un témoin, sans jugement, sans critique. Tournez-vous vers l’intérieur,
ayez une relation privilégiée avec vous-même,
traitez-vous
avec bienveillance. Puis tournez-vous vers l’extérieur et laissez-vous
aller au plaisir, à l’abandon, et à la confiance, au plaisir
de profiter et de goûter pleinement les bonnes choses de la vie, ralentissez
votre rythme et prenez le temps de vivre, de regarder, d’écouter.
Ayez des buts, des idéaux
D'après Martin Séligman, psychologue à l'Université de Pennsylvanie, qui a travaillé durant trente-cinq ans sur l'optimisme, ce qui construit le bonheur, c'est le fait de donner du sens à son action, de s’engager dans une relation amoureuse,
une famille, un travail, une communauté et se servir de ce que l’on
a de mieux en soi pour contribuer au bien-être des autres : « Les
individus les plus heureux s’investissent à fond dans le quotidien
et, surtout, accordent facilement leur pardon. Ils poursuivent des objectifs
personnels en développant leur libre arbitre sans être dans
l’affrontement ou dans l’envie. »
Inaugurez une nouvelle vision des choses et souvenez-vous que vous pouvez modifier
vos attitudes, et votre fonctionnement. Une habitude se change.
« Pour être heureux, il faut y mettre du sien » nous enseigne encore Alain, le philosophe.
*Par Michèle Freud, psychothérapeute, directrice de Michèle Freud Formations
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